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Stratégie climatique des entreprises : vers une action structurée, ambitieuse et alignée sur les enjeux du siècle

Mathieu by Mathieu
juillet 14, 2025
in Entreprises
Illustration représentant une entreprise au centre d’un paysage symbolique intégrant des éléments de nature, d’industrie, de données et de collaboration, pour incarner la stratégie climatique à 360°.

Une entreprise au cœur d’un écosystème en transition, articulant atténuation, adaptation et gouvernance climatique.

Le dérèglement climatique n’est plus une perspective lointaine : ses effets sont déjà tangibles et s’amplifient chaque année. Face à l’urgence, les entreprises ne peuvent plus se contenter d’initiatives symboliques ou périphériques. Elles doivent intégrer le climat au cœur de leur stratégie.

Mais que signifie réellement adopter une stratégie climatique ? Il ne s’agit pas seulement de mesurer ses émissions ou de publier un rapport RSE. Il s’agit de repenser son modèle d’affaires, d’anticiper les risques physiques et réglementaires, d’aligner ses trajectoires de réduction d’émissions sur la science, et de mobiliser l’ensemble de ses parties prenantes.

Deux dynamiques complémentaires doivent structurer cette action : l’atténuation (réduire l’empreinte carbone) et l’adaptation (préparer l’entreprise à vivre dans un monde plus chaud et instable). Le tout dans un contexte où la neutralité carbone devient un repère collectif, et où la réglementation européenne (CSRD) impose plus de rigueur et de transparence.

Dans cet article, nous décryptons les piliers d’une stratégie climatique d’entreprise ambitieuse, fondée sur des concepts robustes, une structuration claire et une exigence d’alignement avec les enjeux du siècle.

1. Atténuation et adaptation : les deux piliers de la stratégie climat

Lorsqu’on parle de stratégie climatique, il est fondamental de distinguer deux logiques d’action complémentaires : l’atténuation et l’adaptation. Trop souvent confondues ou déséquilibrées, ces deux approches structurent pourtant l’ensemble des leviers dont disposent les entreprises pour faire face à la crise climatique.

Atténuation : réduire l’empreinte carbone

L’atténuation vise à limiter les causes du changement climatique, c’est-à-dire les émissions de gaz à effet de serre (GES) produites par les activités humaines. Pour une entreprise, cela se traduit notamment par :

  • La réduction directe de ses émissions (Scopes 1, 2, et 3),
  • L’amélioration de l’efficacité énergétique,
  • L’évolution des procédés, produits ou services vers des modèles sobres en carbone,
  • Et la contribution à la préservation ou à la restauration de puits de carbone naturels, tels que les forêts ou les sols.

L’atténuation constitue le levier prioritaire car elle détermine l’intensité future du changement climatique à l’échelle planétaire.

Adaptation : faire face à l’inévitable

Mais atténuer ne suffit plus. Le changement climatique est déjà en cours, avec des conséquences concrètes : vagues de chaleur, stress hydrique, événements extrêmes, fragilité des chaînes d’approvisionnement… C’est là qu’intervient l’adaptation.

L’adaptation consiste à réduire la vulnérabilité de l’entreprise face aux impacts physiques et aux risques de transition liés au climat. Cela implique par exemple :

  • Le renforcement de la résilience des infrastructures ou des sites de production,
  • L’évaluation des dépendances critiques (énergie, eau, fournisseurs…),
  • L’intégration des risques climatiques dans la stratégie et la gouvernance,
  • L’évolution des offres pour répondre aux attentes d’un marché bas carbone.

Un couplage stratégique nécessaire

Longtemps, l’adaptation a été négligée au profit de l’atténuation. Or, l’une ne peut se substituer à l’autre : la réduction des émissions est essentielle pour éviter l’emballement climatique, mais elle ne protège pas des chocs déjà enclenchés. Inversement, s’adapter sans réduire ses émissions revient à construire des digues sans fermer le robinet.

Une stratégie climatique sérieuse articule donc atténuation et adaptation, en tenant compte des spécificités sectorielles, géographiques et organisationnelles. Cette double approche devient la base de toute trajectoire climatique pertinente.

2. La neutralité carbone : un objectif collectif à ne pas galvauder

Le terme neutralité carbone est aujourd’hui omniprésent dans les discours des entreprises. Pourtant, il est souvent mal compris, voire utilisé à contre-sens. Pour structurer une stratégie climatique crédible, il est indispensable de clarifier ce que recouvre réellement cet objectif.

La neutralité carbone : une ambition mondiale, pas individuelle

Selon l’Accord de Paris, la neutralité carbone correspond à un équilibre entre les émissions de gaz à effet de serre émises et celles absorbées à l’échelle planétaire. Elle doit être atteinte au plus tard dans la seconde moitié du XXIe siècle pour limiter le réchauffement global en dessous de +2°C, voire +1,5°C.

Cette neutralité ne peut s’appliquer qu’à l’échelle mondiale ou nationale. Une entreprise ne peut pas être “neutre en carbone” au sens climatique du terme, sauf à contribuer à cet objectif collectif par des trajectoires de réduction robustes.

Parler de “produit neutre en carbone” ou de “neutralité immédiate” repose souvent sur des logiques de compensation (achat de crédits carbone) qui, seules, ne permettent pas de répondre aux enjeux structurels de la transition.

La métaphore de la baignoire : comprendre le déséquilibre carbone

Une image pédagogique développée par la Net Zero Initiative (Carbone 4) illustre bien la situation :

L’atmosphère est comme une baignoire remplie de carbone. Avant l’ère industrielle, le niveau d’eau était stable. Depuis, les émissions ont fait monter ce niveau, menaçant de faire “déborder” le climat.
La solution ne consiste pas à rajouter un seau d’eau propre pour compenser, mais à réduire drastiquement le débit entrant (les émissions) et à améliorer l’évacuation (les puits de carbone).

Cette métaphore rappelle que le véritable enjeu est la réduction des émissions absolues, bien avant toute tentative de “neutralisation”.

Trois piliers pour une contribution crédible

Une entreprise peut s’inscrire de manière cohérente dans la dynamique de neutralité carbone en structurant son action autour de trois piliers (inspirés de la Net Zero Initiative) :

  1. Réduire ses émissions directes et indirectes (Scopes 1, 2, 3).
  2. Contribuer à la décarbonation du système global (ex. : par ses produits, services ou chaînes de valeur).
  3. Financer des projets climatiques pertinents sans les considérer comme une solution miracle ou une “compensation”.

Cette approche permet d’ancrer la stratégie climatique dans une logique d’impact réel, et non dans une communication cosmétique.

3. Ce qui définit une stratégie climatique ambitieuse

De nombreuses entreprises affirment aujourd’hui disposer d’une stratégie climatique. Pourtant, peu d’entre elles répondent réellement aux exigences de cohérence, d’exhaustivité et d’alignement scientifique que requiert la situation climatique actuelle. Une stratégie climatique ambitieuse ne se limite pas à un empilement d’actions ou à un bilan GES ; elle repose sur des fondations rigoureuses et une vision de long terme.

Une vision à long terme, structurée par étapes

L’une des premières caractéristiques d’une stratégie robuste est la clarté du cap :

  • Une vision à 15 ans ou plus, cohérente avec les objectifs de l’Accord de Paris ;
  • Des engagements intermédiaires mesurables (à 5 et 10 ans) pour piloter l’action et démontrer les progrès.

Sans cette structuration temporelle, il est impossible d’assurer un suivi crédible et d’inscrire les efforts dans la durée.

Des objectifs fondés sur la science

L’ambition ne se décrète pas, elle se mesure. Une stratégie sérieuse s’appuie sur :

  • Des trajectoires de réduction compatibles avec les référentiels scientifiques, tels que les Science-Based Targets ou la méthode ACT de l’ADEME.
  • Une intégration des émissions de Scope 3, souvent majoritaires et trop souvent ignorées.

La définition d’objectifs doit aller au-delà de l’exigence réglementaire, pour viser un niveau de transformation réel.

L’exhaustivité : toutes les activités et la chaîne de valeur

Une stratégie ambitieuse ne se limite pas au périmètre direct de l’entreprise :

  • Elle couvre toutes les entités juridiques, tous les sites et tous les scopes (1, 2 et 3).
  • Elle intègre l’ensemble de la chaîne de valeur, des fournisseurs aux clients.
  • Elle prend en compte les dimensions physiques, financières, opérationnelles et réputationnelles du risque climatique.

Cette approche systémique est la seule voie pour éviter les angles morts et piloter une transformation complète.

Un alignement avec la stratégie globale de l’entreprise

Le climat ne doit pas être un “volet RSE” isolé. Il doit être intégré au cœur de la stratégie d’entreprise, c’est-à-dire :

  • Aligner les objectifs climatiques avec les priorités business.
  • Repenser les modèles économiques à l’aune des limites planétaires.
  • Inscrire la stratégie climat dans les décisions d’investissement, les relations commerciales et les choix d’innovation.

C’est ce niveau d’alignement qui permet de passer d’un plan d’actions à un levier de compétitivité durable.

4. Gouvernance, pilotage et culture : des leviers décisifs

La transition climatique ne peut pas reposer uniquement sur les épaules d’un responsable RSE isolé. Pour devenir une dynamique réelle et durable, la stratégie climatique doit s’enraciner dans la gouvernance de l’entreprise, bénéficier d’un pilotage structuré, et infuser dans sa culture organisationnelle. Sans ces trois leviers, même la meilleure feuille de route reste lettre morte.

L’engagement de la direction : condition sine qua non

Toute démarche climatique sérieuse commence par une impulsion claire de la direction générale. Cet engagement ne peut être symbolique : il doit se traduire par :

  • La désignation d’un sponsor de la démarche au sein du comité exécutif ;
  • Une allocation de ressources suffisantes (humaines, financières, décisionnelles) ;
  • Une présence active de la direction dans les moments clés (lancement, validation de la vision, arbitrages stratégiques).

C’est à ce prix que le climat devient un enjeu prioritaire et non secondaire.

Une gouvernance opérationnelle bien structurée

Pour piloter la démarche au quotidien, il est nécessaire de mettre en place :

  • Un coordinateur interne formé aux enjeux climat et outillé pour suivre les avancées ;
  • Un système de suivi reposant sur une grille de maturité, des indicateurs de performance carbone, et un plan d’action clair ;
  • Des instances de gouvernance dédiées, permettant une revue régulière des progrès et des arbitrages.

Ce pilotage doit s’inscrire dans les processus de gestion existants, pour éviter de devenir une “démarche parallèle”.

L’ancrage culturel : faire du climat une affaire de tous

Au-delà de la gouvernance formelle, une stratégie climatique ne peut aboutir sans une mobilisation large :

  • Des équipes opérationnelles (achats, production, logistique, marketing…) impliquées dans la définition et la mise en œuvre des actions ;
  • Une sensibilisation des collaborateurs pour aligner les comportements quotidiens avec les objectifs ;
  • Une incarnation des valeurs climatiques dans l’entreprise, à travers ses choix, ses récits, ses partenariats.

Ce niveau d’appropriation est indispensable pour transformer les objectifs en résultats concrets.

5. Outiller et structurer la stratégie climat

Une stratégie climatique ambitieuse repose sur des convictions, mais elle ne peut s’affranchir d’une structuration rigoureuse et d’un outillage adapté. Les entreprises ont besoin de méthodes, de données et d’outils pour analyser, planifier, suivre et ajuster leur action climatique dans la durée. Loin d’être un simple exercice technique, cette structuration permet de passer de l’intention à la transformation.

Cartographier les risques et maturités

Le point de départ de toute stratégie robuste est un état des lieux clair :

  • Cartographie des risques climatiques, physiques (inondations, sécheresses, canicules) et de transition (réglementation, évolutions du marché, réputation) ;
  • Autodiagnostic de maturité pour identifier les points forts et les zones de progrès ;
  • Analyse des dépendances critiques (matières premières, énergie, infrastructures, technologies…).

Cette phase permet de baser la stratégie sur une compréhension fine des vulnérabilités de l’entreprise.

Définir une trajectoire de décarbonation

Une fois le diagnostic établi, l’entreprise doit construire une trajectoire carbone claire, fondée sur :

  • Des données fiables sur ses émissions (Scopes 1, 2, 3) ;
  • Des indicateurs clés de performance carbone, intégrés aux indicateurs financiers ;
  • Une ventilation des efforts à fournir par entité, activité ou zone géographique ;
  • Un plan d’action priorisé, réaliste mais ambitieux.

C’est cette trajectoire qui sert de boussole pour orienter les décisions stratégiques.

Mettre à disposition les bons outils

Plusieurs outils peuvent être mobilisés pour faciliter le déploiement et le suivi de la stratégie, comme :

  • Une grille de progression pour suivre l’évolution de la maturité climatique dans le temps ;
  • Un tableau de bord carbone, pour visualiser les résultats et ajuster les actions ;
  • Une boîte à outils stratégique regroupant méthodes d’analyse, techniques d’animation collective, et bonnes pratiques sectorielles.

Ces outils permettent de professionnaliser la démarche et de l’inscrire dans une logique de pilotage continu.

Mobiliser les parties prenantes internes

La stratégie ne peut pas être conçue uniquement par une équipe restreinte. Elle doit s’appuyer sur une dynamique collective :

  • Impliquer la direction dans les arbitrages stratégiques ;
  • Mobiliser les collaborateurs clés dans les ateliers de construction (vision, plan d’action) ;
  • Élargir la participation à l’ensemble des métiers au moment du déploiement.

Cette approche garantit l’opérationnalité des actions et favorise l’appropriation sur le terrain.

6. Convergence avec les obligations réglementaires (CSRD)

La stratégie climatique des entreprises ne se joue plus uniquement sur le terrain volontaire : elle entre désormais dans le champ des obligations réglementaires. Avec l’entrée en vigueur de la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) en Europe, les entreprises doivent non seulement rendre compte de leur impact environnemental, mais aussi démontrer leur capacité à y répondre. Cette nouvelle donne renforce la nécessité d’une stratégie climat structurée, pilotée et documentée.

La CSRD : un cadre de reporting exigeant… et transformant

La CSRD impose aux entreprises de publier des informations détaillées sur :

  • Les impacts causés (émissions, consommation de ressources, pollution),
  • Les impacts subis (vulnérabilités face aux risques climatiques),
  • Les plans d’action et objectifs de transition,
  • Les politiques de gouvernance et de pilotage associées.

Elle s’appuie sur les normes européennes ESRS, notamment ESRS E1 dédié au climat. Ce standard impose une transparence accrue sur les trajectoires de décarbonation, les engagements de réduction et l’intégration des risques.

De la conformité au levier stratégique

La tentation peut être forte de considérer la CSRD comme une contrainte de conformité. Pourtant, elle constitue une opportunité stratégique pour les entreprises :

  • Elle légitime et structure la démarche climat ;
  • Elle pousse à clarifier les priorités et à documenter les efforts ;
  • Elle renforce la confiance des parties prenantes (investisseurs, clients, collaborateurs…).

Les entreprises les plus avancées utilisent la CSRD comme catalyseur de transformation, plutôt que comme un simple exercice de reporting.

Une synergie naturelle avec les méthodes climatiques structurées

Les méthodologies rigoureuses de stratégie climatique, comme la démarche ACT Pas-à-Pas, permettent de :

  • Construire une stratégie alignée sur les objectifs de l’Accord de Paris ;
  • Collecter des données utiles à la CSRD tout au long du parcours ;
  • Articuler vision, trajectoire, gouvernance, plan d’action et pilotage.

Une cartographie des correspondances entre ACT et ESRS E1 est d’ailleurs disponible, facilitant la mise en cohérence des démarches.

En somme, préparer une stratégie climat structurée, c’est aussi se préparer à la CSRD – et inversement. L’un renforce l’autre, dans une logique de convergence entre performance extra-financière et résilience stratégique.

Coopérations et dynamiques collectives : un accélérateur de transition

La transition climatique ne peut être menée en silo. Loin d’être un effort individuel isolé, elle gagne en efficacité, en rapidité et en ambition lorsqu’elle s’appuie sur des dynamiques collectives. Pour les entreprises, cela signifie sortir d’une logique de concurrence pure pour entrer dans des logiques de coopération sectorielle, territoriale ou filière, où les synergies permettent d’aller plus loin, ensemble.

L’intelligence collective au service de l’action climatique

Les démarches collectives permettent de :

  • Mutualiser les efforts (diagnostics, animation, outils, formations) ;
  • Partager les bonnes pratiques et tirer des enseignements des pionniers ;
  • Identifier des leviers d’action communs (achats responsables, mutualisation logistique, standardisation des indicateurs).

Elles favorisent une montée en compétence rapide et un gain d’efficacité dans la mise en œuvre des plans de décarbonation.

Le rôle catalyseur des dispositifs publics

Des dispositifs comme ceux proposés par l’ADEME (notamment pour le déploiement collectif de la méthode ACT Pas-à-Pas) offrent un cadre stimulant :

  • Accompagnement technique et méthodologique ;
  • Co-financement des démarches ;
  • Reconnaissance publique du niveau d’engagement.

Ces dispositifs permettent à des réseaux d’entreprises, des filières ou des territoires de construire des feuilles de route climatiques partagées et de renforcer leur résilience systémique.

Vers des coalitions stratégiques et de nouveaux modèles économiques

Les dynamiques collectives ne se limitent pas au partage d’expériences : elles peuvent déboucher sur :

  • La co-construction de projets structurants (développement d’énergies renouvelables, logistique bas carbone, recyclage mutualisé, etc.) ;
  • L’émergence de standards sectoriels, facilitant le reporting, la notation extra-financière ou les achats responsables ;
  • La création de modèles économiques coopératifs, mieux armés pour répondre aux enjeux environnementaux.

Dans un monde où les chaînes de valeur sont interconnectées, la performance climatique est de plus en plus collective. Participer à ces dynamiques permet aux entreprises de ne pas subir les mutations du marché, mais de les anticiper – voire de les orienter.

Construire une stratégie climatique ambitieuse, cohérente et alignée avec les enjeux globaux n’est plus une option : c’est un impératif pour assurer la résilience, la crédibilité et la pérennité des entreprises dans un monde en transition.

Cela suppose de combiner vision à long terme, exécution structurée, pilotage rigoureux, engagement collectif et alignement réglementaire. Mais au-delà des outils et des cadres, c’est une transformation culturelle profonde qui s’engage, avec à la clé des opportunités inédites de différenciation et d’innovation.

👉 J’ai personnellement suivi la formation ACT Pas-à-Pas proposée par l’ADEME, et cet article est le fruit de mes notes et réflexions issues de ce parcours d’apprentissage. Je recommande vivement cette formation à toute personne ou organisation souhaitant comprendre en profondeur ce qu’est une stratégie climatique d’entreprise et, surtout, comment passer à l’action de manière structurée, crédible et efficace.

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