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Filières et réseaux d’entreprises : leviers stratégiques pour réussir la transition écologique

Mathieu by Mathieu
juillet 23, 2025
in Entreprises
Des chefs d’entreprise et représentants de réseaux professionnels réunis autour d’une carte de territoire, discutant de projets de transition écologique et d’innovation collaborative.

Filières et réseaux d’entreprises : des catalyseurs de solutions collectives pour une économie décarbonée et résiliente.

Introduction

Face à l’urgence climatique et à la dégradation des écosystèmes, la transition écologique s’impose comme une transformation systémique, incontournable pour l’ensemble de l’économie française. Au-delà des objectifs environnementaux, cette transition est aussi une opportunité stratégique : elle redéfinit les chaînes de valeur, transforme les métiers, modifie les modèles économiques et appelle à une nouvelle coordination des acteurs, des territoires et des politiques publiques.

Dans ce contexte, les filières professionnelles et les réseaux d’entreprises occupent une place déterminante. Qu’ils soient sectoriels ou territoriaux, structurés autour de pôles de compétitivité, de comités stratégiques de filière (CSF), de chambres de commerce ou de clusters, ces collectifs constituent des leviers essentiels pour mutualiser les moyens, accompagner les transitions technologiques, faciliter l’accès aux financements et accélérer la montée en compétence des entreprises — en particulier des TPE et PME.

Pourtant, malgré leur potentiel, leur mobilisation reste encore partielle, hétérogène, et souvent dépendante d’initiatives isolées ou d’opportunités conjoncturelles. Ce livre blanc vise à dresser un état des lieux des dynamiques actuelles, à identifier les freins à surmonter, et à proposer des leviers concrets pour outiller ces acteurs intermédiaires dans leur rôle d’accélérateurs de transition.

À travers l’analyse croisée de documents stratégiques récents (avis du CESE, contrat stratégique de filière, rapports du Shift Project et de France Stratégie), ce livre blanc apporte une vision opérationnelle et documentée de ce que pourrait être une mobilisation collective structurée au service d’une économie décarbonée, résiliente et inclusive.

1. Les filières face au défi climatique : état des lieux et enjeux

Un maillage stratégique dans la transformation de l’économie

Les filières professionnelles – qu’elles soient industrielles, agricoles, énergétiques ou de services – structurent une part essentielle de l’appareil productif français. Elles concentrent des compétences, des infrastructures, des savoir-faire et des chaînes de valeur territorialisées, ce qui en fait des vecteurs privilégiés de transformation écologique. Elles sont aussi confrontées à des injonctions multiples : réduire leur empreinte carbone, relocaliser certaines productions, s’adapter à la raréfaction des ressources, répondre à l’évolution des normes et aux attentes sociétales.

Source SGPE / Shift Project

Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) souligne que la transition écologique constitue « l’un des enjeux primordiaux pour les prochaines décennies ». À l’horizon 2040, les filières devront adapter leurs modèles productifs à des impératifs de sobriété, d’efficience énergétique, d’économie circulaire, tout en maintenant leur compétitivité et leur capacité à créer de l’emploi sur les territoires.

Des données sectorielles éclairantes

D’après les projections du Secrétariat général à la planification écologique (SGPE), 880 000 actifs devront être recrutés et formés d’ici 2030 dans les secteurs clés de la transition écologique, majoritairement des techniciens et ouvriers. Ces transformations concernent aussi bien l’énergie (rénovation thermique, énergies renouvelables), le bâtiment, les mobilités durables, que l’industrie, l’agriculture ou la gestion des déchets.

Certaines filières se sont déjà engagées dans des stratégies ambitieuses, à l’image de la filière Nouveaux Systèmes Énergétiques, qui vise à structurer une offre industrielle française sur les technologies bas carbone (batteries, hydrogène, réseaux intelligents) et à renforcer la souveraineté énergétique. Le contrat stratégique 2024–2027 identifie 4 axes structurants : développement de l’offre, industrialisation, formation et emploi, intégration territoriale.

De même, la filière forêt-bois joue un rôle central dans les stratégies bas carbone, à la fois en tant que puits de carbone, source de matériaux renouvelables et levier d’adaptation des territoires aux effets du changement climatique. Elle fait cependant face à des tensions majeures : disponibilité de la ressource, adaptation des essences, modernisation des outils industriels, attractivité des métiers.

Des logiques de chaîne de valeur à reconfigurer

La transition écologique remet en cause les chaînes de valeur longues et fragmentées. Elle favorise au contraire des logiques de relocalisation, d’écoconception et de coopération interentreprises, notamment autour de l’économie circulaire, de la mutualisation logistique, ou du partage d’infrastructures. Ces dynamiques impliquent une recomposition des relations entre donneurs d’ordres et sous-traitants, entre industriels et territoires, et exigent une capacité collective à anticiper les impacts sociaux, économiques et environnementaux des transformations à venir.

Les filières sont donc appelées à jouer un rôle de chef d’orchestre dans la planification sectorielle de la transition, en lien avec les régions, les opérateurs publics, les organismes de formation et les financeurs. Ce rôle suppose une structuration renforcée, une gouvernance adaptée, et des outils de pilotage partagés.

2. Les réseaux d’entreprises : catalyseurs d’innovation et d’action collective

Des structures essentielles à la massification des transitions

Les réseaux d’entreprises – pôles de compétitivité, clusters, chambres de commerce et d’industrie (CCI), grappes d’entreprises, fédérations professionnelles – occupent une position charnière dans le paysage économique territorial. Leur proximité avec les TPE/PME, leur connaissance fine des bassins d’emploi, leur capacité à mutualiser les compétences et à faire levier sur les financements publics, en font des acteurs clés pour outiller, accompagner et accélérer les transitions.

Ces réseaux constituent des espaces de coordination, d’innovation collective et de diffusion des bonnes pratiques. Ils permettent de dépasser les logiques de concurrence frontale pour faire émerger des coopérations sectorielles ou intersectorielles : projets collectifs de décarbonation, mutualisation d’infrastructures, plateformes de réemploi, boucles locales d’énergie, etc.

Des initiatives déjà structurantes

Le contrat stratégique de la filière Nouveaux Systèmes Énergétiques (NSE) est un exemple marquant : plus de 1 500 contributeurs – industriels, collectivités, acteurs publics, pôles, associations – sont mobilisés autour de 23 chantiers prioritaires, allant du stockage de l’énergie à l’efficacité énergétique des réseaux, en passant par la formation, le financement et la recherche appliquée.

Autres exemples notables :

  • Le programme Je-Décarbone porté par le CSF NSE, qui mobilise pôles de compétitivité, ADEME, CEA, France Industrie pour co-développer des projets industriels bas carbone.
  • Les actions collectives inter-entreprises animées par les CCI dans les territoires : diagnostics GES mutualisés, accompagnement à la certification environnementale, etc.
  • Les plateformes régionales d’innovation (PRI) et les réseaux de clusters sectoriels (comme le REI dans l’agriculture) qui facilitent l’accès aux compétences, aux solutions techniques, et aux marchés publics ou privés.

Une capacité à structurer des réponses mutualisées

Ces réseaux sont capables de traduire les grandes orientations nationales (France 2030, plan de transition de l’industrie, stratégie nationale bas-carbone) en feuilles de route opérationnelles à l’échelle des territoires. Ils facilitent la mise en cohérence entre les besoins des entreprises, les dispositifs de financement, les priorités des politiques publiques et les initiatives de terrain.

Le rapport du Shift Project souligne d’ailleurs que la formation des actifs pour la transition écologique est plus efficace lorsqu’elle s’inscrit dans des dynamiques collectives portées par des réseaux structurés, capables de massifier les besoins, sécuriser les parcours et transformer les pratiques professionnelles au sein des entreprises.

Des enjeux de structuration encore sous-exploités

Malgré ce potentiel, les réseaux sont parfois freinés par :

  • un manque de coordination inter-réseaux (ex : entre pôles, CCI, CSF, fédérations) ;
  • des inégalités d’accès aux ressources entre les grandes métropoles et les territoires périphériques ;
  • une fragilité des moyens humains et financiers, particulièrement pour les réseaux indépendants ;
  • un déficit de reconnaissance institutionnelle, limitant leur intégration dans les politiques publiques de transition.

Leur montée en puissance suppose donc une reconnaissance formelle de leur rôle d’interface stratégique, un soutien renforcé à l’ingénierie de projet, et une mobilisation accrue des dispositifs publics d’accompagnement.

3. Les leviers mobilisables : compétences, financements, gouvernance

Former massivement pour transformer durablement

La transition écologique des filières et des entreprises ne se fera pas sans une transformation profonde des compétences. Comme le rappelle le Shift Project, la formation continue est indispensable pour accompagner les 30 millions d’actifs dans cette mutation, en particulier les techniciens et ouvriers qui composent 90 % des emplois à pourvoir dans les secteurs clés d’ici 2030.

Plusieurs freins structurels persistent :

  • Les formations sont souvent concentrées sur la sensibilisation courte, sans effet profond sur les pratiques professionnelles.
  • L’accès à la formation reste inégalitaire : les ouvriers et techniciens sont les moins formés, alors qu’ils sont en première ligne de la transition.
  • Peu d’entreprises intègrent les enjeux climatiques dans leur gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC).

Pour surmonter ces limites, le renforcement des dispositifs territoriaux de GPEC, la massification de la formation qualifiante sur les métiers de la transition, et la mobilisation des organismes de branche et d’intermédiation sont essentiels.

Financer l’adaptation et l’innovation

Le financement reste un levier central mais encore mal structuré au service des projets collectifs. Plusieurs dispositifs nationaux et européens peuvent être mobilisés :

  • France 2030, qui soutient des projets structurants via appels à projets.
  • Le crédit d’impôt industrie verte, qui facilite les investissements dans les équipements de production décarbonée.
  • Les programmes FEDER et FSE+, qui financent des initiatives territoriales d’innovation, de formation ou de reconversion.
  • Le Fonds Chaleur, le Fonds Économie Circulaire (ADEME), pour des projets techniques sectoriels.

Mais l’accès à ces financements reste souvent complexe pour les PME ou les réseaux locaux. Il nécessite une ingénierie de projet mutualisée, que les réseaux d’entreprises peuvent justement porter à condition d’en avoir les moyens.

Structurer la gouvernance autour de la planification

La gouvernance actuelle de la transition souffre d’un éparpillement des acteurs, d’un cloisonnement sectoriel et d’un manque de pilotage partagé. Pourtant, une transition efficace suppose une coordination renforcée entre État, collectivités, filières, réseaux et financeurs.

Le contrat stratégique de la filière NSE montre l’efficacité d’une gouvernance tripartite (État – entreprises – syndicats) structurée autour d’objectifs clairs, d’engagements réciproques et de groupes de travail transverses. Ce modèle pourrait être élargi à d’autres filières ou territoires.

L’intégration des réseaux dans les démarches de planification écologique territoriale (SRADDET, contrats de transition écologique, feuilles de route régionales…) permettrait d’ancrer localement les stratégies, de faire converger les efforts publics et privés, et d’éviter les doublons.

4. Les freins persistants à lever

Des inégalités d’accès aux dispositifs

Malgré l’abondance de dispositifs publics, d’initiatives locales et de programmes sectoriels, l’accès effectif aux ressources reste très inégal selon la taille des structures, leur localisation géographique ou leur capacité d’ingénierie. Les TPE/PME et les structures peu capitalisées, notamment en zones rurales ou dans les territoires « hors radar », rencontrent des difficultés à mobiliser les financements ou à répondre à des appels à projets exigeants.

Les résultats d’enquêtes terrain montrent que seulement 30 % des acheteurs de formation déclarent que leur organisation a une démarche GPEC intégrant les besoins de transition écologique. Ce déficit de projection stratégique limite l’anticipation des besoins et aggrave les écarts entre acteurs déjà avancés et ceux qui peinent à enclencher la démarche.

Une fragmentation institutionnelle

La multiplicité des guichets, des plans, des instances de gouvernance freine la lisibilité des politiques de transition. Chaque programme (France 2030, plan régional, plan de relance, dispositifs européens, stratégie nationale) a ses logiques propres, ses critères, ses temporalités.

Cette fragmentation complique la mobilisation des acteurs économiques, qui peinent à s’y retrouver ou à articuler les aides. Elle limite aussi l’efficacité des politiques publiques, faute de coordination entre niveaux de décision (État, région, EPCI, filières).

Des blocages dans la culture d’entreprise

Au sein même des organisations, la culture managériale n’est pas toujours alignée avec les objectifs de transition. Le Shift Project note que la plupart des actions de formation restent au stade de la sensibilisation, sans réelle mise en pratique professionnelle. Par ailleurs, la transformation des pratiques est souvent freinée par :

  • l’absence de stratégie claire,
  • la peur du changement,
  • des arbitrages économiques de court terme,
  • un déficit d’accompagnement du management intermédiaire.

Il en résulte une inertie organisationnelle, où la transition est perçue comme un coût ou une contrainte, plutôt qu’un levier d’opportunité.

Des dynamiques collectives encore fragiles

Les démarches interentreprises, indispensables pour mutualiser les risques, structurer des filières locales ou expérimenter de nouveaux modèles, restent encore trop dépendantes de l’engagement d’acteurs moteurs isolés. Le manque de ressources stables pour animer ces dynamiques, et l’insuffisante reconnaissance des réseaux intermédiaires comme partenaires stratégiques de la transition, freinent leur montée en puissance.

Ces constats montrent la nécessité de changer d’échelle, en soutenant durablement les dynamiques collectives, en renforçant l’animation territoriale, et en intégrant pleinement les réseaux dans les politiques de transformation.

5. Recommandations pour structurer une réponse collective efficace

Pour que les filières et les réseaux d’entreprises jouent pleinement leur rôle de catalyseurs de la transition écologique, des leviers concrets et systémiques doivent être actionnés. Voici les principales recommandations issues de l’analyse croisée des sources mobilisées.

Outiller les réseaux pour en faire des opérateurs de la transition

1. Outiller les réseaux pour en faire des opérateurs de la transition

  • Renforcer les moyens humains et financiers des structures intermédiaires (clusters, pôles, fédérations, CCI, interpros), en reconnaissant leur rôle stratégique d’accompagnement des entreprises.
  • Déployer une ingénierie mutualisée à disposition des entreprises pour l’accès aux financements, la gestion des compétences, la veille technologique et réglementaire.
  • Intégrer systématiquement ces réseaux dans les dispositifs publics (plans régionaux de transition, appels à projets France 2030, Fonds Chaleur, STEP, etc.) comme chefs de file ou partenaires.

2. Territorialiser la transition à l’échelle des bassins d’activité

  • Inscrire les filières et les réseaux dans les démarches de planification écologique territoriale (SRADDET, feuilles de route régionales bas carbone, CTE, etc.).
  • Soutenir les démarches inter-entreprises territoriales, notamment via des financements spécifiques (diagnostics collectifs, plateformes mutualisées, projets collaboratifs).
  • Renforcer les liens entre acteurs économiques, collectivités, services de l’État et financeurs autour d’instances de dialogue stratégiques (ex. : comités de transition territoriaux).

3. Accélérer la montée en compétence dans une logique systémique

  • Massifier les formations qualifiantes ciblées sur les métiers de la transition (rénovation énergétique, maintenance industrielle verte, logistique bas carbone…).
  • Développer des parcours collectifs de reconversion, portés par les filières et réseaux avec l’appui des OPCO, des CFA et des Régions.
  • Intégrer les enjeux de transition écologique dans les référentiels métiers, les certifications professionnelles et les plans de formation des branches.

4. Favoriser l’émergence de réponses mutualisées et innovantes

  • Soutenir les démarches d’écoconception et d’économie circulaire à l’échelle des filières (réseaux d’approvisionnement durable, boucles locales, écoparcs…).
  • Mettre en place des incitations ciblées pour la coopération interentreprises : appels à projets collectifs, bonus à la mutualisation, clauses de réciprocité dans les aides publiques.
  • Valoriser les réseaux porteurs de solutions (ex. : « territoires pilotes de la transition », plateformes régionales d’innovation) comme modèles à essaimer.

5. Instaurer une gouvernance intégrée de la transition

  • Généraliser les contrats stratégiques de filière incluant objectifs environnementaux, engagements sociaux et trajectoires d’investissement.
  • Créer des observatoires inter-réseaux (par filière ou région) pour suivre les transitions, partager les indicateurs, identifier les bonnes pratiques.
  • Formaliser des engagements réciproques entre État, filières, collectivités et réseaux économiques sur les objectifs, les moyens et les résultats attendus.

Conclusion : Une opportunité stratégique à saisir collectivement

La transition écologique n’est plus une option. Elle impose une reconfiguration profonde de nos modèles économiques, industriels et territoriaux. Les filières professionnelles et les réseaux d’entreprises apparaissent aujourd’hui comme des maillons stratégiques, capables de traduire les grandes ambitions en dynamiques concrètes, adaptées aux réalités locales et sectorielles.

Mais pour relever ce défi, encore faut-il leur donner les moyens d’agir : moyens financiers, compétences, reconnaissance institutionnelle, outils de coopération. Il ne s’agit plus seulement d’accompagner les pionniers, mais de massifier, mutualiser et territorialiser les transitions.

Je suis toujours et plus que jamais convaincu : c’est à l’échelle des collectifs que la transition réussira. En plaçant les réseaux au cœur des politiques de transformation, en outillant les filières pour qu’elles deviennent des vecteurs d’innovation, de reconversion et de résilience, nous pouvons bâtir une économie plus sobre, plus juste et plus souveraine.

Kosmio s’engage dans cette voie. Vous accompagne pour appuyer, outiller et renforcer les dynamiques collectives que vous portez — en tant que fédération, réseau, pôle, CCI ou dispositif d’action collective. Ensemble, faisons de la transition écologique une force structurante pour les territoires et les entreprises.

Pour aller plus loin :

Former les actifs pour la transition écologique

Avis du Conseil national de la transition écologique rendus en 2025

23/10/2024 Commission du développement durable : PLF 2025 : Missions « Écologie, développement et …

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