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Forum FEET : comment les territoires prennent le pouvoir sur la transition écologique

Mathieu by Mathieu
mai 22, 2025
in Actualités
Conférence sur la transition écologique territoriale en Occitanie avec des élus et experts discutant du Pacte Vert, de l’urbanisme durable et des solutions locales.

Le Pacte Vert en action : urbanisme durable, rénovation énergétique, mobilité douce et coopération territoriale à Montpellier et en région Occitanie.

Présent lors de la conférence « Transition en Occitanie : territoires en mouvement ? » au Forum FEET, j’ai recueilli les enseignements de responsables régionaux engagés dans la transition écologique territoriale. Pacte Vert, plan climat, chaleur renouvelable, tourisme durable : découvrez les leviers concrets déployés en Occitanie pour accélérer la transformation des territoires.

À l’occasion de ma participation à la conférence « Transition en Occitanie : territoires en mouvement ? », organisée dans le cadre du Forum FEET, j’ai eu l’opportunité d’écouter et d’échanger avec plusieurs figures clés de la transformation écologique régionale.

Dans un contexte de bouleversements climatiques, d’instabilité énergétique et de pressions sur les ressources, un constat a émergé avec clarté : la transition écologique sera territoriale ou ne sera pas.

Loin des slogans, ce que cette table ronde a révélé, c’est la richesse — mais aussi la complexité — de la transition écologique territoriale, lorsqu’elle est menée au plus près du terrain : à travers les communes, les intercommunalités, les métropoles, les réseaux d’entreprises, les coopératives, les citoyens et les écosystèmes professionnels engagés.

Du Pacte Vert régional aux plans climat locaux, en passant par les feuilles de route énergie, les stratégies de résilience ou encore les coopératives carbone, c’est tout un ensemble d’outils, de méthodes et de coopérations qui prennent corps pour répondre à l’urgence, tout en construisant un modèle de développement profondément renouvelé.

Cet article est à la fois un retour d’expérience de cette conférence, une synthèse des messages-clés échangés, et une exploration des leviers concrets mobilisés pour faire de l’Occitanie un territoire pilote de la transition écologique.

I. La transition écologique se fera (ou non) sur les territoires

Dans un contexte de dérèglement climatique accéléré, de crise énergétique et de pression sur les ressources, les territoires deviennent les véritables moteurs de la transformation écologique. Cette idée, souvent évoquée mais rarement concrétisée, a été affirmée avec force par Céline Vachey, directrice régionale de l’ADEME Occitanie : « La transition écologique sera territoriale ou ne sera pas ».

Une gouvernance locale renforcée

Le Pacte Vert régional, tout comme les plans climat métropolitains ou les schémas territoriaux de l’énergie, incarnent cette décentralisation stratégique. Loin d’être un simple transfert de compétences, c’est une redistribution des responsabilités et des moyens pour planifier, financer et piloter la transition écologique territoriale.

À Montpellier, cette approche se traduit par une forte capacité d’animation et de mobilisation des parties prenantes : citoyens, communes, entreprises, experts, associations. Plus de 40 millions d’euros ont été mobilisés sur cinq ans par l’ADEME pour accompagner les projets de la métropole, démontrant ainsi que les outils existent pour agir, à condition d’une vision partagée.

Du discours aux actes : la massification des projets

Le défi principal ne réside plus dans la définition des objectifs, mais dans leur concrétisation. Les collectivités doivent aujourd’hui passer du diagnostic à l’action, de la stratégie à l’opérationnalité. Cela suppose de :

  • massifier les projets à fort impact environnemental,
  • articuler les leviers d’action (énergie, mobilité, urbanisme, tourisme),
  • et surtout mettre en récit cette transformation pour la rendre compréhensible et désirable.

Comme le souligne l’Agence de Développement et des Transitions, cette dynamique ne peut reposer que sur des politiques publiques descendantes. Elle doit intégrer l’écosystème économique, en accompagnant les PME vers des modèles sobres et résilients, et en développant des coopératives de projets partagés comme la Coopérative Carbone de Montpellier.

Une logique de co-construction

Les acteurs régionaux s’accordent sur un point : réussir la transition passe par l’hybridation des savoirs et la coopération intersectorielle. C’est précisément l’enjeu des COP régionales, animées par la Région et l’État, qui rassemblent acteurs publics, économiques, académiques et citoyens pour établir des feuilles de route climatiques concertées.

Ainsi, la transition écologique territoriale devient un processus politique autant que technique, où la démocratie locale, l’ingénierie publique, la formation et l’innovation doivent converger pour répondre aux défis systémiques du XXIe siècle.

II. Planification climatique : urgence et complexité

La transition écologique territoriale impose une vision de long terme… mais les décisions doivent se prendre aujourd’hui. C’est ce paradoxe que les collectivités tentent de résoudre en combinant planification stratégique, ingénierie opérationnelle et implication multi-acteurs.

Des objectifs à 2050, des actions à lancer en 2025

Montpellier Méditerranée Métropole s’est engagée dans un Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) aligné sur la trajectoire 2050, visant à :

  • diviser par deux la consommation énergétique,
  • couvrir 100 % des besoins par des énergies renouvelables locales,
  • et intégrer la transition dans tous les documents d’aménagement (PLUi, plan mobilité, schéma directeur de l’énergie).

La Région Occitanie, quant à elle, porte une stratégie ambitieuse avec le scénario REPOS (Région à Énergie POSitive), qui fixe comme cap une division par deux de la consommation d’énergie d’ici 2050 (référence 2015), et un triplement de la production locale. Cette planification est renforcée par la régionalisation à venir de la Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE), obligeant les territoires à prendre part activement à la définition des vecteurs énergétiques : électricité, chaleur, gaz renouvelables.

Une méthode pour anticiper les chocs climatiques

L’enjeu n’est pas uniquement de réduire les émissions : il faut aussi s’adapter à un climat qui change. Pour cela, l’ADEME a développé une méthodologie structurante : TACCT (Trajectoire d’Adaptation au Changement Climatique des Territoires).

Cette méthode, déjà déployée dans une quinzaine de territoires en Occitanie (dont Montpellier), repose sur trois étapes :

  1. Diagnostic de vulnérabilité : identification des aléas climatiques (canicules, ruissellements, sécheresse, etc.) et des impacts sur les ressources, infrastructures et activités économiques.
  2. Construction d’un plan d’action avec les parties prenantes locales (collectivités, entreprises, PNR, universités…).
  3. Mise en œuvre et suivi des résultats via des indicateurs (souvent encore lacunaires), pour ajuster les politiques en temps réel.

Cette approche est cruciale pour anticiper les scénarios critiques : montée des températures (+49°C à Montpellier en 2019), pression sur la ressource en eau, adaptation des infrastructures de santé, de transport, et du bâti.

Les outils de pilotage sont là, reste à combler l’écart d’exécution

Pour éviter que ces plans ne restent lettre morte, les intervenants ont insisté sur trois conditions :

  • le besoin massif d’ingénierie territoriale pour accompagner la montée en compétences,
  • une meilleure coordination entre acteurs publics et privés,
  • et la capacité de suivi avec des données actualisées, ce qui reste un point faible (retard de 2 à 3 ans sur les données ADEME).

En somme, la planification ne peut être un simple empilement de schémas. Elle doit devenir un cadre vivant, adaptatif, réactif — à la hauteur de l’urgence climatique et de la complexité systémique de la transition écologique territoriale.

III. Sobriété, chaleur renouvelable, rénovation : leviers d’impact immédiat

Parmi les grands piliers de la transition écologique territoriale, trois leviers ressortent comme particulièrement puissants : la sobriété énergétique, la valorisation de la chaleur renouvelable, et la rénovation du bâti. Des domaines à fort potentiel mais qui demandent des approches coordonnées, des moyens significatifs et un ancrage local fort.

Sobriété énergétique : exemplarité publique et mobilisation citoyenne

La Métropole de Montpellier a engagé une dynamique structurée autour de la sobriété, en commençant par elle-même : près de 90 % de son parc de logements sociaux a été rénové par son opérateur ACM. Mais l’enjeu principal réside dans la rénovation massive des copropriétés, beaucoup plus complexes à mobiliser.

Objectif : 4 500 logements rénovés par an, via un accompagnement renforcé des syndics, artisans, copropriétaires, et l’écosystème local. La structure Énergie Montpellier Métropole joue ici un rôle clé, en animant un réseau de professionnels et en simplifiant les démarches.

Cette démarche vise aussi à embarquer les communes rurales, comme l’a illustré la maire d’une petite commune de la métropole, en évoquant la rénovation thermique de son école, médiathèque ou mairie, rendue possible par l’ingénierie mutualisée.

Chaleur renouvelable : l’angle mort de la transition énergétique

Si l’on parle souvent d’électricité verte (photovoltaïque, éolien), la chaleur reste un sujet moins médiatisé… pourtant fondamental. Elle représente près de 50 % de la consommation énergétique nationale, dont les deux tiers sont encore produits par des combustibles fossiles.

L’ADEME y consacre un Fonds Chaleur national dédié, qui finance études, investissements et animation. En Occitanie, cette stratégie se décline par le développement de :

  • réseaux de chaleur urbains (ex : 22 km à Montpellier alimentant CHU, Sanofi, quartiers prioritaires),
  • chaleur fatale (récupérée de data centers, industries…),
  • bois-énergie (fort développement local, Occitanie = 2e région de production),
  • géothermie (potentiel sous-exploité, avec un avantage : production de chaud et de froid),
  • et solaire thermique, notamment dans les bâtiments publics ou logements collectifs.

Chaque projet fait l’objet d’une feuille de route territoriale, intégrant contraintes foncières, logistiques, acceptabilité et gouvernance locale.

Rénovation : effet d’entraînement économique et social

La rénovation énergétique du parc existant constitue une opportunité économique majeure : montée en compétence des artisans, structuration de filières, création d’emplois non délocalisables. Mais elle demande aussi :

  • des financements massifs,
  • une coordination technique et administrative,
  • et des dispositifs de tiers de confiance pour sécuriser les particuliers.

Montpellier et l’ADEME misent sur l’approche “promotion collective” : mutualiser l’accompagnement de plusieurs TPE/PME ou copropriétés pour réduire les coûts, partager les bonnes pratiques, et créer une dynamique d’entraînement.

Avec la sobriété et la chaleur renouvelable, la transition écologique territoriale montre ici sa capacité à produire des résultats concrets, mesurables, créateurs de valeur… à condition de bien s’organiser. Elle devient ainsi un levier de résilience locale, autant qu’un vecteur d’équité et de compétitivité économique.

IV. Tourisme, urbanisme, mobilité : vers des transitions systémiques

Tourisme durable : un secteur en mutation

Le tourisme représente 11 % des émissions nationales, principalement dues au transport. En Occitanie, 92 % des touristes utilisent la voiture pour leurs déplacements.

Pour répondre à ces enjeux, la Région a lancé un appel à projets pour un tourisme durable, responsable et solidaire, visant à transformer les activités touristiques en valorisant les savoir-faire locaux et en diversifiant l’offre.

En 2024, 47 projets ont été financés pour favoriser un modèle touristique plus durable et responsable.

Urbanisme : adapter les territoires au changement climatique

L’urbanisme durable est au cœur de la transition écologique territoriale. Il s’agit de concevoir des espaces résilients face aux défis climatiques, en intégrant la nature en ville et en limitant l’artificialisation des sols.

Le programme « Plus fraîche ma ville » soutient des projets d’aménagement visant à rafraîchir les espaces urbains, en favorisant la végétalisation et la désimperméabilisation des sols.

Par ailleurs, la DREAL Occitanie encourage l’intégration des enjeux énergétiques et climatiques dans les documents d’urbanisme, tels que les PLUi et les SCoT.

Mobilité : vers des déplacements plus durables

La mobilité est un levier essentiel de la transition écologique territoriale. La Région Occitanie s’efforce de développer les mobilités douces et les transports en commun pour réduire l’empreinte carbone des déplacements.

Des initiatives telles que la Journée de la Mobilité Douce visent à sensibiliser les citoyens aux alternatives à la voiture individuelle.

En parallèle, des projets d’aménagement urbain, comme celui de Grand Matabiau à Toulouse, intègrent des pôles multimodaux pour faciliter l’intermodalité et encourager l’usage des transports durables.

V. Mobiliser l’économie : vers un capitalisme territorial de la transition

La transition écologique territoriale ne peut se limiter à des politiques publiques ; elle nécessite l’engagement actif des entreprises locales. En Occitanie, plusieurs initiatives visent à intégrer les acteurs économiques dans cette dynamique.

L’Agence de Développement et des Transitions : un catalyseur pour les entreprises

Lancée par la Métropole de Montpellier et la Région Occitanie, l’Agence de Développement et des Transitions accompagne les entreprises vers des modèles économiques durables. Elle propose des services tels que des diagnostics, des formations et des aides financières pour faciliter leur transition écologique. Cette agence agit comme un tiers de confiance, reliant les entreprises aux dispositifs de soutien existants.

CO.OP Carbone : une initiative collaborative pour la décarbonation

La CO.OP Carbone, portée par l’Agence des Transitions, EDF et la Métropole de Montpellier, vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre en mobilisant les entreprises locales. Elle met en relation des entreprises souhaitant financer des projets écologiques avec des porteurs de projets locaux labellisés « bas-carbone ». Cette approche collaborative permet de renforcer la résilience locale tout en atteignant les objectifs des Plans Climat Air Énergie Territoriaux (PCAET).

L’ADEME : un soutien financier et technique pour les entreprises

En 2024, l’ADEME Occitanie a attribué 110 millions d’euros d’aides à plus de 1 000 projets portés par des collectivités et des entreprises. Ces financements visent à encourager les entreprises locales à intégrer la transition écologique dans leurs pratiques quotidiennes, en lien avec les acteurs du développement économique de la région.

Ces initiatives illustrent la volonté de l’Occitanie de mobiliser l’économie locale pour réussir la transition écologique territoriale. En intégrant les entreprises dans cette dynamique, la région favorise une croissance durable et résiliente, bénéfique pour l’ensemble de ses habitants.

VI. Changer d’échelle, changer de récit

La transition écologique territoriale ne se limite pas à des actions techniques ou réglementaires. Elle implique une transformation profonde des imaginaires collectifs et des modes de gouvernance.

Vers une transition systémique

La Fabrique des Transitions propose une approche systémique de la transition, fondée sur quatre principes

  1. Créer et renforcer les conditions d’engagement : susciter l’envie d’agir en partant des besoins et des motivations des habitants.
  2. Favoriser une gouvernance partagée : impliquer l’ensemble des acteurs locaux dans la définition et la mise en œuvre des projets.
  3. Développer une culture de la coopération : encourager les synergies entre les différents secteurs et niveaux d’action.
  4. Mettre en récit la transition : construire des narrations collectives qui donnent du sens aux transformations en cours.

Ces principes sont mis en œuvre dans le cadre de cohortes régionales, réunissant plusieurs territoires pour partager leurs expériences et renforcer leurs capacités d’action.

L’importance du récit dans la transition

Le récit est un outil puissant pour mobiliser les citoyens et donner du sens aux actions entreprises. Le programme de recherche-action ÉRABLE explore cette dimension en co-construisant des récits territoriaux sur la biodiversité, en lien avec la recherche et la prospective.

En Occitanie, des initiatives telles que les budgets participatifs permettent aux citoyens de proposer et de choisir des projets en faveur du climat et de la biodiversité, renforçant ainsi leur implication dans la transition écologique.

Pour réussir, passons de la stratégie à la coopération opérationnelle

La transition écologique territoriale n’est plus une option : elle est un impératif. Les outils existent, les plans sont écrits, les financements sont disponibles. Mais ce qui fait encore défaut à grande échelle, c’est la capacité à coopérer efficacement pour mettre en œuvre.

La coopération est aujourd’hui le véritable levier de transformation. À l’échelle d’un territoire, elle devient le socle qui rend possible l’action concrète, en connectant les collectivités, les entreprises, les citoyens, les experts et les financeurs. Sans coopération, pas de massification. Sans cadre de confiance, pas d’engagement durable.

Pour accélérer la transition, il est essentiel de :

  • identifier les solutions pertinentes et reproductibles,
  • partager les retours d’expériences pour mutualiser les apprentissages,
  • mesurer l’impact réel des projets sur le territoire, de façon rigoureuse et transparente.

Cela suppose de mettre en place des tiers de confiance, capables de garantir la qualité des projets, d’assurer leur traçabilité, et de limiter les risques — tant pour les financeurs que pour les porteurs de projet.

C’est précisément dans cette dynamique que Kosmio s’engage.
Nous contribuons à outiller les acteurs territoriaux en développant des solutions numériques au service de :

  • la gouvernance distribuée et transparente,
  • la traçabilité des actions et des financements,
  • la valorisation des impacts sociaux, environnementaux et économiques.

Nos technologies open source, nos plateformes collaboratives et nos systèmes de certification numérique permettent d’accélérer la mise en œuvre des transitions tout en renforçant la confiance.

👉 Si vous êtes une collectivité, un réseau d’entreprises, un acteur de l’impact ou un porteur de projets territoriaux, parlons-en.
Avec Kosmio est là pour vous aider à structurer vos démarches, à fiabiliser vos projets et à passer à l’échelle.

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